La patience devait être l’une des qualités que devait avoir chaque ambassadeur mais quand l’attente dure trop longtemps resté encore plus longtemps deviendrait une insulte pour lui et son duché.
Personne en vue et porte close, cela représente bien l’Anjou. Il fit demi-tour pour rejoindre un des valets, un de ceux qui accompagne les ambassadeurs, il remonta à cheval et tendit une lettre.
Prenez en soin, c’est ma lettre de créance. Je ne reviendrais pas, alors je vous laisse le soin de la jetez au feu..
Un salut respectif, et il repartit en direction du Berry.